Leurs existance n'éprouve aucun appétit,
Leur tristesse solitaire s'accroît et s'ennuie,
Mais tout en s'interrogeant sur l'objectif passionné tant attendu,
Ils envoutent ainsi leur esprit de confétis impromptus.
Un voyage précoce destiné au bonheur LA rend malheureuse,
LUI recherche désespéremement l'autre moitié de son coeur,
Des regards furtifs mélangent le parfùm des pensées
Contaminant ainsi l'esprit du Toucher,
Cette rencontre fortuite enrichit leurs âmes promues,
Faisant de l'être un prophète de l'amour absolu.
L'unisson parfaite distille l'imperfection redoutée,
Proposant par cet acte le péché partagé.
Une promesse offerte, une promesse rendue,
Retrouvailles prévues régissant de l'inconnu,
Adieu déchirant percevant un autre horizon,
Ligne bleu, ligne rouge,
Le soleil se couche,
Les jours anonymes défilent sans prétention,
Les étoiles observent ces deux êtres créant le désespoir,
Provoquant alors un manque provisoire,
Mais la promesse conservée multiplie les pensées dispersées
Qui seront bientôt retrouvées.
Hé confiance en l'avenir incertain déjà programmé,
Car l'heure est bientôt arrivée.
Le libre arbitre rend l'amour délice
Leur désir grandit partageant chaudron,
Mais l'angoisse du partage excite la raison,
Son idolâtrie grandit pour flétrir dans l'idylle,
Discutant ainsi leur rencontre absente,
La limite hâtive retarde l'envieuse présente,
Le retour de la fin éclate et pique comme un poison,
Empestant de tristesse et de rage futile,
Jurant alors par tombe l'honneur habile,
Gare, Vengeance, hante l'esprit de tentation,
Détourne ces pensées persistantes pour détenir une autre bienveillance,
Oublie rapidement son souvenir de vague abondance,
La justice des âmes retarde son arrivée,
Le retour des jours illusoires partagés
Ne s'affirme que du mauvais côté,
Car ses illusions perdues bannissent d'humiliation par ses quêtes échouées,
Les réminissances douteuses repartent vieillir,
Mais ne supplie pas l'honneur de te reconquérir.
L'abîme sêché de désespoir
Renaitra de ses peines illusoires.
Le pouvoir de l'amour
Contagion d'étoiles baignant dans le rêve de l'infini,
Cupidon rougit de la muse endormie dans l'oubli,
L'imaginaire tendresse mûrit pour s'abreuver d'une chaleur apaisante,
Mais, protège cette honorable bénédiction de toute douleur massacrante.
La pluie facilite ces rêves prémonitoires, profitant alors de son innocence pour poursuivre sa gloire.
L'abîme profonde incertaine éloigne les coeurs tristes
Qui s'ennuient de leurs sentiments endormis,
ces regards dévorants aglutinent la perception de l'avenir
activée par ce besoin humain, secret de chacun,
La roue s'enfuit vers leurs destins,
Espérant un éternel lendemain,
Une échelle se dresse,
Une main qui grimpe,
Les tulipes pâlissent de monotonie pour prévenir la présence de l'amour infini,
Disparaissant ainsi dans l'autre coeur recevant la rose de la confiance partagée,
Cette unique sensation dévoile les sentiments séquestrés,
Faisant de la pirogue le pinceau créateur des nuages et de l'espérance cachée.
Ces jours douteux promettent un futur ennivrant de gaieté,
Car l'amour ne s'observe pas mais se ressent à travers les émotions divulguées,
La musique profiteuse unifie les chants glorieux des moitiés séparées,
Menottant leurs coeurs convulsés à tout jamais.
Des règlements incessants de douleur persistent sans retour,
La machine est détruirte au fond de l'abîme,
Son pouvoir dévastateur conquiert l'esprit,
Le miroir de l'esprit poursuit et replie,
Sa grandeur réfléchit pour anéantir son double,
La rage remplit l'abîme d'humiliation et de ridicule
Faisant de l'être un prédateur fébrile,
Porte close, existence illégitime,
La serrure brille,
Lueur indescriptible,
Le mirage illusoire de l'abîme redonne l'amertume de l'amour,
Mais que se passe-t-il derrière la grille ?
La mort si abominable ronge la chair encore nerveuse,
La maladie est envieuse et curieuse,
L'ardeur du coeur pâlit de jalousie et promet sans garantie,
Le foyer hurle d'un son muet et supplie,
Redonne ton coeur à ce monde sans regret et sans rougir,
Et cette souffrance inutile guérira d'un soupir,
Alors que sa douleur s'oublie et s'enfuit pour voler une autre vie,
Regarde au fond de l'abîme pour lui souhaiter bonne nuit,
Car son souvenir hantera toujours l'injustice qui te suit.
Contagion d'étoiles baignant dans le rêve de l'infini,
Cupidon rougit de la muse endormie dans l'oubli,
L'imaginaire tendresse mûrit pour s'abreuver d'une chaleur apaisante,
Mais, protège cette honorable bénédiction de toutes douleurs massacrantes.
La pluie facilite ces rêves prémonitoires,
Profitant alors de son innocence pour poursuivre sa gloire.
L'abîme profonde incertaine éloigne les coeurs tristes
Qui s'ennuient de leurs sentiments endormis,
Ces regards dévorantss agglutinent la perception de l'avenir.
Activée par ce besoin humain, secret, de chacun,
La rooue s'enfuit vers leur destin,
Espérant un éternel lendemain.
Une échelle se dresse,
Une main qui grimpe,
Les tulipes pâlissent de monotonie pour prévenir la présence de l'amour infini,
Disparaissant ainsi dans l'autre coeur recevant la rose de la confiance partagée,
Cette unique sensation dévoile les sentiments séquestrés,
Faisant de la pirogue le pinceau créateur des nuages et de l'espérance cachée.
Ces jours promettent un futur ennivrant de gaieté,
Car l'amour ne s'observe pas mais se ressent à travers les émotions divulguées,
La musique profiteuse unifie les chants glorieux des moitiés séparées,
Menottant leurs coeurs convulsés à tout jamais.
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